L’eau de refroidissement, ou plutôt les valeurs microbiologiques de l’eau de refroidissement, sont au centre des préoccupations des autorités. En Allemagne, par exemple, la 42e édition de l’Ordonnance fédérale sur les émissions réglemente exactement comment traiter les légionelles dans l’eau de refroidissement. En détail, il s’agit du risque dans les systèmes de refroidissement par évaporation. En d’autres termes, dans les tours de refroidissement dans les systèmes de refroidissement ouverts. Dans de nombreux pays, il existe soit des réglementations locales, soit des réglementations de la Communauté européenne, par exemple.
Qu’est-ce que les algues dans l’eau de refroidissement ont à voir avec la légionellose ?
Que faire contre les algues dans l’eau de refroidissement ?
La réglementation (VDI 2047 partie 2) stipule qu’à partir d’un compte bactérien de 1000 CFU/100ml, un dosage de choc biocide doit être effectué. Non seulement ça a l’air cher, mais ça l’est. Dans le cas de tours de refroidissement plus grandes, un dosage choc peut facilement coûter plusieurs centaines d’euros.
Une femme au foyer souabe ou un écossais (tous deux savent qu’ils doivent garder leur argent à l’abri des légionelles à des concentrations plus élevées dans l’eau de refroidissement. Travailler sur la cause plutôt que de simplement traiter les symptômes.
Merus réduit la croissance des algues
Comme cela a été prouvé dans de nombreux cas, les algues ne se sentent pas à l’aise dans l’eau traitée par les Anneaux Merus. Ils se reproduisent moins rapidement et brunissent plus rapidement. Les algues brunes tombent au sol et s’accumulent au fond du bassin de la tour de refroidissement. Si le nombre total d’algues est plus faible, le Bioflim reçoit moins de nourriture dans l’eau de refroidissement. Cela le rend donc aussi plus faible et est progressivement dissous par les Anneaux Merus. S’il n’y a plus de biofilm dans le système, il sera également très difficile pour la légionelle de se reproduire.